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Iona D. Vasilev



Iona D. Vasilev


★ DATE D’ARRIVÉE : 23/12/2011
★ NAISSANCE PERSO' : 21/12/1987
★ BOUGIES : 36
★ MESSAGES : 17
★ NATIONALITÉ : Bulgare & Croate
★ GROUPE : Dragon
★ JOB : Auteur de roman à succès & dessinatrice



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✎ MA BOITE A DÉBILITÉS:


MessageSujet: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyVen 23 Déc - 17:32

♛ Iona Dezyana Vasilev

feat Emma Watsonr

24 ans ans ✩Bulgare & Croate✩ Dessinatrice & Auteur de roman à succès ✩ Célibataire ✩ Hétéro ✩ Dragon


Inventé Scénario


❝ Just wanna have fun ❞

Dis, tu vis à Sofia depuis quand ? ?
Je suis née à Sofia, en quelque sorte, j’y suis depuis toujours, en dehors de ces longs voyages dans les Amériques, voyages forcés et dénués d’intérêt.
T'as reçu la fameuse lettre anonyme ? T'en penses quoi ?
Je l’ai reçu. Et pour moi, tout ceci n’est qu’un joli tissu de mensonges. Je suis écrivaine, mon monde à moi, c’est les histoires à dormir debout, je m’y connais mieux que personne, et honnêtement, le type qui a écrit ce torchon était très doué.
Tu dirais quoi sur ton caractère ?
On me dit souvent que je suis déconnectée de la réalité, dans un monde à part. Ils ont sans doute raison. Par ce fait même, je suis distante, secrète et discrète. J’ai cette tendance enfantine à cacher mes ennuis derrière un sourire enfantin, derrière une joie fausse comme on cache ses pêchés dans sa bonté. Je passe néanmoins la plupart de mon temps seul, le nez dans ces pages blanches que je m’efforce de noircir avec application. Je suis imaginative, créative, mais tout ça me rend solitaire, renfermée et même froide. Petite, ma mère ne cessait de dire que je devais laisser les gens venir à moi, alors je les laisse venir, mais sur le bout des pieds, sans vouloir qu’ils saccagent mon monde à moi.
Sinon, tu aimes quoi dans la vie ?
Ce que j’aime? La tranquillité, le silence. Les endroits bruyants me filent la nausée. J’aime les espaces verts, la neige, le froid et surtout, les sucreries. J’aime croiser des gens dans la rue, dans le parc et voir qu’ils tiennent dans leurs mains l’un de mes romans, qu’ils dévorent avec passion. J’aime, malgré moi, l’intérêt que je suscite et je me dis parfois qu’il est bon d’être auteur à succès.
Quel est ton rêve le plus fou ?
Mon rêve le plus fou? Être dans la liste des Best Seller. Ridicule, simpliste, peut-être, mais c’est le seul truc qui me vient à l’esprit quand j’y songe.



❝ Tell me something good ❞

Te souviens-tu de la neige recouvrant les prés, les rendant étincelants sous la lumière faible du soleil? C’était un hiver comme milles autre dans ces contrées froides. Les arbres étaient dénudés de leurs manteaux émeraude, les eaux calmes des rivières étaient figées dans le temps sous l’épaisse couche de glace. Le monde s’était figé dans la froideur hivernale, mais tu en avais l’habitude, toi, petite sauvageonne des plaines blanches. Tu te souviens combien tu aimais la saison froide? Tu enfilais ton bonnet et des moufles, sautait dans des bottes pour courir dans les déserts de neige et de glace, comme si ce monde t’appartenait. Tu étais la reine des glaces sur tes patins aux lames effilées, tu étais la princesse des neiges sur ta luge de bois, tu étais l’amie des bonshommes d’eau gelée aux nez en carottes. Pour toi, l’hiver rimait avec l’odeur du pain d’épices flottant dans les pièces de la maison et des lueurs des lumières du sapin de Noël trônant en roi dans le salon. Pourtant, jamais nos Noëls ne furent heureux. D’aussi loin je me souviens, ton père et moi ne passions jamais cette fête familiale en paix. Nous nous disputions devant les invités pendant le repas, nous nous engueulions comme des enfants lors que l’ouverture des cadeaux, parce que nous nous avions mis d’accord pour t’acheter une nouvelle bicyclette et qu’il t’avait offert un bâton de hockey. Parce qu’il avait troqué la robe que je t’avais achetée par des vêtements de garçon, parce qu’il t’offrait les présents que nous aurions offerts à ton frère, s’il avait été là. Mais pour toi, ça n’importait peu. Tu croyais à ces Noëls fantaisistes où le Père-Noël se faufilerait dans la cheminée avec tes présents pour venir manger les biscuits que tu lui avais laissés sur la table près du sapin imposant décoré par tes soins. Nous n’avons pas été des parents parfaits, nous n’avons pas été des modèles, nous avons été les crocs-mitaines de ton monde d’enfant. Peut-être aurait-ce été différent si Wendell n’était pas mort. Tu ne te souviens sans doute pas de lui. Tu étais si petite quand il est mort. C’était le cher fils de ton père, notre petit trésor et peut-être aurait-ce été plus douce s’il était resté avec nous. Ton père adorait son fils, il était l’enfant de ses rêves, si parfait qu’il était impossible de lui arriver à la cheville. Il a fallu que ton frère se fasse heurté par une voiture. Ce n’était pas de ta faute, pourtant, c’est comme si ta naissance signait l’arrêt de mort de ton frère. C’est comme ça que ton père la vécut, je crois. Et je sais qu’au fond de ton cœur d’enfant, dans ton insouciance de gamine émerveillée par la neige tombante en gros flocons complexes tu en étais blessée. Je sais que comme toute enfant, tu aurais aimé être aimée, adorée et adulée par ton père. Ça n’a jamais été le cas et quelque part, je me sens coupable de t’avoir imposé la tristesse et le malheur. J’aurais aimé t’offrir une vie avec une vraie famille, autre que ta mère hurlant sur ton père, saoule les soirs devant les vieilles photographies de son défunt fils, une vie loin de ton père qui n’était jamais là, trop occupé à se perdre dans les bras de sa secrétaire sans que ça ne me blesse vraiment. Je le savais. Je n’ai jamais rien dit. Et toi, petite princesse des plaines enneigées, aurais-tu aimé une autre vie sans ces malheurs que tu connaissais sans les voir? As-tu vu l’orage qui menaçait ton hiver éternel, cette tempête infernale qui allait te tomber dessus pour balayer ton innocence enfantine d’un revers de main? As-tu sentit le courant d’air glacial qui allait et venait dans la maison de ton enfance si amère? Les souvenirs ne sont pas que miel et sucre.Tu n’as pas vu la tempête arriver et comme Dorothée, tu es resté coincé dans le cyclone qui t’emmène à Emerald City. Mais toi, tu n’as pas tes petites chaussures rouges, toi tu n’as pas Glinda pour te protéger pour t’aider. Parce que toi, tu es Ephalba, tu te souviens? Cette vilaine sorcière dont l’histoire t’a longtemps suivit le soir avant de t’endormir tranquillement dans ton lit chaud. Parce que tu n’es rien d’autre que le vilain petit canard de l’histoire tragique de nos vies. Quelque part, je me sentais mal d’être celle qui créait le cyclone autour de toi, toi ma petite princesse des neiges. J’aurais aimé t’offrir une meilleure enfance, ma petite Iona, mais j’en étais incapable, trop noyé par la souffrance de ce monde si injuste et par l’alcool qui coulait à flot. Mais sache que malgré la mère indigne que je fus, je t’aimais. Tu étais ma petite fée, mon petit rayon de soleil, ton rire était ma mélodie délicieuse et sucrée, ta peau était la douceur de la soie lorsque ta main attrapait la mienne. Je ne te méritais pas, nous ne te méritait pas, ton père et moi. Nous étions trop aveuglés par la perte d’un enfant pour voir la beauté de celui qui grandissait devant nous. Nous n’avions pas compris à l’époque que les enfants ne sont rien d’autre que le miroir de ce que nous sommes, nous adultes anéantis par la cruauté de l’homme sauvage et brute. Et toi, petites fées des glaces, tu n’étais qu’une charmante enfant happée par les conflits de grands… Et plus jamais, ton Noël eu le goût du pain d'épices...

(..)

La mélodie de la pluie est d’un réconfort étrange, comme les vieilles chansons d’amour que l’on passe encore et encore à la radio, inlassablement, comme si ces vieilles chansons nous rappelaient les moments magiques avec l’être aimer tout en éveillant les souvenirs douloureux de jours meilleurs. La pluie tambourinait sur la carrosserie de la voiture, comme pour nous rappeler sa présence, elle, déesse de la nostalgie. Et comme une suite de larmes dont le barrage de paupières ne parvient pas à contenir, elle s’écrasait sur le sol déjà trempé de cette route sans artifice. L’habitacle de la voiture était comme un bouclier contre le monde extérieur où l’eau tombant du ciel n’était que mélodie cassante sur la peinture lustrée. Ces voyages, elle les connaissait par cœur, elle saurait dire où la voiture arrêterait pour la première fois, où il déjeunerait demain matin, à quel hôtel ils passeraient la nuit. Ces voyages, elles les font deux fois par année, quand sa mère en a marre de l’avoir dans ses pattes, quand l’hiver se termine à Sofia. Puis quand son père en a assez de lui hurlé dessus, quand le froid reprend ses droits. Sa vie, c’est un éternel hiver enneigé sur les plaines bulgares et le soleil de cette petite ville Californienne ou son père élu domicile après le divorce. C’est l’accord de ses parents, un accord qui lui plaît à demi, un accord sur lequel elle n’a rien à dire, parce qu’elle l’enfant et eux les adultes. Et ils ne semblent pas voir la difficulté de la situation pour une enfant de dix ans. À l’école, dans son pays natal, elle est la fille qui ne passera pas l’été avec ses copines, elle est celle qui ne verra pas les plaines refleurirent. Chez son père, à L.A, elle était la petite Bulgare qui ne resterait que quelques mois, dont les habitants avaient du mal à ce souvenir de son nom si particulier et ou on riait de son accent. Quand elle se plaignait qu’on l’avait appelé Ivana ou Irina, plutôt dans la journée, son père lui disait de laisser le temps aux citoyens de se faire à sa présence ou alors, il pestait contre le nom trop étrange que sa femme avait donné à sa fille. Parfois, sans qu’il ne le dise, Iona savait que son père n’aimait pas la savoir ici, dans cette grande ville américaine avec lui. Parce que la présence de l’adorable petite fille l’obligeait à faire ressortir les démons d’un passé qu’il s’efforçait d’oublier. Parce que lorsqu’il se mettait à hurler sur sa fille pour aucune raison, les gens le regardaient comme s’il était le démon. Ne comprenaient-ils pas que la petite était le mal incarné? Et alors, au fil de ces visites ici, l’enfant se repliait sur elle-même, parlant très peu aux gens, se taisant lorsqu’on l’approchait et ne faisait que répondre aux questions avec de courtes réponses très peu développées. Quand on posait des questions, son père répondait que sa chère petite fille n’était pas très bavarde. C’était d’un ridicule risible. Quand on lui demandait si elle voulait revenir ici l’an prochain, elle répondait par l’affirmative, bien qu’elle éclatait en sanglots chaque soir dans son petit lit aux motifs d’avions et de voitures. Une chambre de garçon dans laquelle ses rares copains n’entraient jamais. Elle avait honte. Elle n’aimait pas cette chambre, elle n’aimait pas la manie de son père de l’appeler « mon garçon. ». Et de retour chez cette mère ivrogne, dans ses passages chez sa tendre grand-mère vieillissante, elle ne cessait de ce plaindre de cette vie qu’était la sienne. Elle lui disait qu’il fallait écouter son cœur, elle petite fille des déserts blancs. Et si son cœur lui disait de partir? Si son cœur n’était pas en accord avec cette vie choisie pour elle? Si elle voulait de ces vies banales qu’ont les autres enfants, que devait-elle faire? Que devait-elle dire? Il n’y avait rien à faire, rien à dire. Elle n’avait qu’à laisser les saisons passées au rythme lent des années qui la mènerait à l’âge de la raison. Et quand ses lèvres auront le goût amer de larmes versées sur cette vie d’enfant détruite par les grands, elle n’aura que des « si seulement » pour consoler ses pleurs. Il sera trop tard pour rêver du prince charmant et trop tôt pour se morfondre sur la vie qu’elle a vécue jusque-là. Les adultes sont trop aveugles pour voir ce qu’ils font aux enfants. On les croit quand ils nous disent à mi-mot qu’ils comprennent la situation des grands simplement pour avoir l’air plus grands qu’ils ne le sont. Iona fait partie de ces enfants qui veulent grandir trop vite, qui poussent la vie pour comprendre les choses qu’elle a le temps de comprendre. Elle ne veut pas rester une enfant, parce qu’être enfant c’est être avalé par le flot de la vie, celui des adultes qui nous dictent mots et conduites. Mais cette vie-là, la petite n’en a jamais voulu. Ce monde-là, elle rejette de toutes ses forces, se débattant contre les mains d’acier de cet univers qui la garde coincé dans sa ronde infernal vers le néant. Et si elle hurle, elle sait que personne ne l’entendra, trop assourdit par leurs propres hurlements.

(...)

Le destin à ces drôles de chemins qui nous entraîne partout, sauf là où on voulait aller. Ce monde-là, elle ne l’aimait pas. Sa vie à elle, elle ne l’appréciait pas. Ce monde qui s’ouvrait devant elle, comme des étaux d’aciers qui n’attendaient que de se refermer sur elle, lui faisait peur. Par moment, elle avait l’impression que si elle hurlait, personne ne l’entendrait. Que si elle pleurait, personne ne serait là pour la consolée, si elle tombait, personne ne pourrait la rattraper. Elle était seule au monde et le monde l’avait abandonné. Devant elle s’étendait le monde, étendu d’immeubles immenses et imposants, lumières aveuglantes et clignotantes, voitures jaunes et noirs dans un tourbillon infernal.....Ce monde, ce n’est pas le sien. Son monde à elle n’est qu’imaginaire et fantaisie. Elle vit dans ces romans qu’elle écrit, dans ses livres qui se vendent trop bien sur les étagères des librairies. Elle vit dans ses dessins pour lesquels elle passe des heures à tracer des lignes fines et courbes. Elle y vivait parce qu’elle savait que personne ne serait jamais là pour elle. Elle était seule et vivait dans la solitude comme l’on vit dans l’indifférence. L’Amérique, c’est comme un trou béant où l’on se perd pour ne plus en sortir. Les gens vous entourent sans jamais savoir que vous y êtes. On vous sourit comme l’on sourit à une créature surgie de l’enfer, on vous jette un regard en coin, de peur qu’on soit un kamikaze terroriste. Elle n’aime pas la Californie et pourtant, dans un esprit de contradiction totale, elle y passe la moitié de sa vie. Mais plus pour longtemps. Demain, elle part pour la Bulgarie et elle ne remettra jamais les pieds ici, dans ce monde trop chaud, trop glamour, pour elle. Son regard caresse la circulation, les toits trop hauts des immeubles, le ciel trop bleu… et son cœur se serre de rancœur, de haine envers cette vie qui aurait pu être si parfaite. Au loin, sur un banc de parc, une fille de son âge rigole avec des amis, ses yeux verts pétillent de plaisir et de bonheur, ses boucles blondes cascadent comme une chute d’eau dorée, sa peau est bronze et de couleur miel. Sans même la connaître, Iona sait que cette fille est l’une de ces filles à papa trop gâtées qui fréquentent les plus belles écoles. Elle le sait à ses vêtements, à son sac à dos, à ses chaussures… tout cela trop dispendieux, trop futile pour que cette fille connaisse la vraie vie. Avec un peu de rancœur, montant dans son taxi qui n’était autre chose que la première étape vers son retour à la maison, Iona se dit qu’elle aurait pu être cette fille, richement vêtue et trop heureuse, tout en se disant qu’elle préférait la sienne. Dans quelques heures, elle serait à Sofia, chez elle, son vrai chez elle. Loin de ce monde de paillettes qu’était Los Angeles. Elle partait, sans un regard en arrière pour cette ville qui n’était rien d’autre que mensonge et vulgarité.







♛Karianne / chocobo M.

20 ans ✩ 4/7 ✩ Ok by Nastyasky is blue






Dernière édition par Iona D. Vasilev le Mer 28 Déc - 16:24, édité 6 fois
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Mina S. Ivanova



Mina S. Ivanova


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★ NAISSANCE PERSO' : 11/07/1988
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★ GROUPE : Phoenix
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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyVen 23 Déc - 17:36

Emma <3
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche (:
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Iona D. Vasilev



Iona D. Vasilev


★ DATE D’ARRIVÉE : 23/12/2011
★ NAISSANCE PERSO' : 21/12/1987
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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyVen 23 Déc - 17:38

Merci à toi!
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S. Liv-Astra Karlsen



S. Liv-Astra Karlsen


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyVen 23 Déc - 18:31

Emma la magnifique !!! (a)
Bienvenue petit chou !!
Bon courage pour ta fiche te tout le blabla habituelle ! hihi
Si tu as la moindre question n'hésites surtout pas !! sky is blue
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Nastya L. Baranowski

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Nastya L. Baranowski


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyVen 23 Déc - 19:59

Bienvenue parmi nous et bonne chez pour ta fiche ! Si tu as des questions on est la sky is blue
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Iona D. Vasilev



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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyVen 23 Déc - 21:22

Merci friends
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Nastya L. Baranowski

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Nastya L. Baranowski


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyDim 25 Déc - 15:51

J'ai commencé à lire ton histoire, et mon dieu quel style ! Oo J'ai encore plus hâte de connaitre la suite !
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Cameron M. Petrovski



Cameron M. Petrovski


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyLun 26 Déc - 11:03

Bienvenue parmi nous :D
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Elyna G. Fevrona



Elyna G. Fevrona


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyMar 27 Déc - 19:03

Watson. plz
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. banana
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Iona D. Vasilev



Iona D. Vasilev


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyMer 28 Déc - 14:09

Nastya ; Merci coeuur J'suis flattée

Merci pour les bienvenues!

Et Terminé mes choux!
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Nastya L. Baranowski

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Nastya L. Baranowski


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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. EmptyMer 28 Déc - 18:07

Mais de rien ma choupinette ! Alors voila, j'ai bien lu ta pitite (grande plutôt !) présentation, et j'ai l'honneur de te valider ! Et un dragon de plus, un ! sky is blue A toi le monde du RP, et surtout n'oublie pas d'aller recenser ton avatar ! ticoeur
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MessageSujet: Re: ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.   ☂ It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical. Empty

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